Une étude révèle que les cris des bébés chimpanzés peuvent être flexibles, une capacité que l’on croyait propre à l’Homme. Leurs cris peuvent être utilisés de manière similaire dans des contextes positifs, négatifs ou neutres, afin d’attirer l’attention de la mère. Des résultats qui resserrent le fossé entre langage humain et communication animale.
Article publié dans Sciences et Avenir le 10 décembre 2020.