Le syndrome de l’imposteur touche fortement le milieu médical, où hiérarchie, pression et quête de perfection créent un terrain propice au doute. Selon la chercheuse et anesthésiste aux HUG Mia Gisselbaek, près de 60% des anesthésistes suisses en souffrent, un phénomène lié au stress, au surinvestissement et parfois au burn-out. Les femmes et les jeunes semblent particulièrement exposés, souvent par manque de reconnaissance ou de sentiment d’appartenance.
Un sujet publié dans l’émission CQFD de la RTS le 20 novembre 2025 :
