Le 23 novembre 2024 a eu lieu la Journée de l’intelligence artificielle organisée par l’UNIL et l’EPFL. L’occasion de parcourir ses bénéfices et ses risques dans trois disciplines qui l’utilisent : les sciences biomédicales, glaciologiques et criminelles. Un article publié le 11 novembre 2024 dans l’Uniscope, le magazine du campus de l’Université de Lausanne :…
Catégorie : Sciences Criminelles
La mort dévoilée par la science de la décomposition des corps humains
À cheval entre médecine légale, sciences forensiques, écologie et sociologie, la taphonomie humaine étudie la décomposition des corps humains après leur décès. De nombreux tabous enveloppent le sujet et soulèvent des problématiques liées à nos pratiques funéraires actuelles. Des changements sont nécessaires et le professeur Vincent Varlet en parle dans cet épisode de podcast.
Sur la scène de crime, le coupable est trahi par ses traces
Juin 2005, Bâle-Campagne. Un tueur d’animaux fait sa première victime, un cheval, et emporte avec lui une de ses oreilles. De plus en plus de cas similaires sont dénoncés durant l’été. Deux mois plus tard, tandis que le quarante-septième corps est découvert, une analyse rigoureuse des traces permet de résoudre l’affaire.
L’avalanche de publications menace-t-elle la pertinence des connaissances ?
Dans son dernier article, l’experte en science forensique Céline Weyermann remet en question la quantité de publications et son effet sur la qualité de l’information. Elle aborde spécialisation, système d’édition scientifique et appelle à une redéfinition des fondamentaux.
Récompensé pour ses travaux en sciences criminelles
Ahmed Ajil a reçu le Prix de la Société académique vaudoise le 3 juin 2022 pour sa thèse sur la mobilisation dans le monde arabe à la Faculté de droit, des sciences criminelles et d’administration publique de l’UNIL. L’occasion pour l’uniscope de retracer son parcours empli de rencontres.
« Oui, la reconnaissance faciale fonctionne »
Article sur les recherches sur la reconnaissance faciale menées par Maëlig Jacquet dans le cadre de sa thèse en sciences criminelles à l’Université de Lausanne. Article publié dans l’Uniscope de l’Université de Lausanne le 7 mars 2022